L’énergie libre, c’est la recherche initiée par Nikola Tesla d’une énergie propre, abondante et quasi gratuite.
Une nouvelle piste très prometteuse est le générateur d’énergie E-CAT, dont l’invention par Andréa Rossi date de 2011 et a une visée commerciale d’ici les prochaines années.
Le 28 octobre 2011, en présence de journalistes et de scientifiques, l’inventeur fit une démonstration de fonctionnement de son invention, dans les locaux de l’université de Bologne, en Italie.
Le générateur a alors produit 2 635 kWh durant les 5 heures pendant lesquelles le fonctionnement était autosuffisant, en générant donc une puissance moyenne d’environ 470 kW/H.
Les matières premières nécessaires au fonctionnement furent quelques grammes de nickel et d’hydrogène, ainsi qu’une source d’énergie électrique pour initier le processus.
La fusion froide est une réaction nucléaire, car elle fait fusionner les noyaux d’hydrogène, mais diffère de la fission nucléaire qui fait au contraire éclater les noyaux.
Le principe de la fusion froide, enjeu économique gigantesque, expliquée par Jean-Paul Biberian, professeur à la faculté d’Aix-Marseille:
Andréa Rossi n’a pas bonne réputation dans la communauté scientifique, mais en même temps on peut également légitimement s’étonner que la technologie de la fusion froide fasse l’objet de si peu de recherches… Donc à vous de vous faire votre avis, le but de ce site est premièrement d’informer des pistes d’énergies alternatives dans le débat français. Actuellement la politique énergétique de la France n’est pas choisie avec un débat public, mais dans des bureaux d’Areva.
Néanmoins, en ce qui concerne le sérieux d’Andrea Rossi, il faut noter qu’il a réussi avant le CEA, Los Alamos ou l’académie des sciences russes.
La fusion froide a été découverte par Martin Fleischmann et Stanley Pons en mars 1989, celle-ci est rebaptisée depuis « réactions nucléaires à basse énergie ».
SRI International (anciennement Standford Research Institute) par exemple, poursuit en particulier ses travaux sur la sonofusion.
À SRI International, l’équipe de Mc Kubre très réputée, travaille depuis 20 ans sur la fusion froide.
Mc Kurbre a eu ses premiers résultats de « fusion froide » dès le début, mais le protocole des essais conduits pour l’EPRI pouvait être contesté, notamment concernant les mesures colorimétriques conduisant à établir le bilan énergétique.
Par ailleurs, la question du palladium a été longtemps un problème : l’unique fournisseur japonais avait une production de qualité… variable.
Enfin Pons et Fleshman s’étaient bien gardés de tout dire sur la technologie… Notamment sur le fait qu’il fallait « polariser » l’électrode par une série d’alternance du sens du courant avant de procéder à l’électrolyse proprement dite.
Page Wikipédia sur la fusion froide pour en savoir plus: http://fr.wikipedia.org/wiki/Fusion_froide
Des équipes de recherches continuent actuellement à travailler sur la fusion froide, néanmoins on peut regretter qu’il n’y en ait plus vu l’intérêt de la technologie.